Thème « Protéger » :

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1. Comment et pourquoi protéger une zone de danger en cas d’accident ?
   En délimitant clairement et largement la zone de danger de façon visible pour protéger les victimes et éviter un suraccident.

2. En cas de panne ou d’accident, quel équipement de sécurité doit être porté avant de quitter le véhicule ?
   Il faut porter le gilet haute visibilité avant de sortir du véhicule.

3. Hors autoroute ou endroits dangereux, en cas de panne ou d’accident, où doit être placé le triangle de pré signalisations ?
   Le triangle de pré signalisation doit être placé à une distance d’environ 30m de l’accident ou avant un virage ou un sommet de côte.

4. Dans quelle situation peut-on déplacer une victime ?
   En présence d’un danger réel, immédiat non contrôlable. Ce déplacement doit rester exceptionnel.

5. Quelles sont les conditions pour réaliser le dégagement d’urgence d’une victime en présence d’un danger réel, immédiat et non contrôlable ?
   La victime doit être visible, facile à atteindre et rien ne doit gêner son dégagement. Il faut être sûr de pouvoir réaliser le dégagement de la victime.

6. Si un dégagement d’urgence de la victime est nécessaire, ou doit-elle être déplacée ?
   Dans un endroit suffisamment éloigné du danger et de ses conséquences.

7. Quel comportement adopter en cas de diffusion d’un signal d’alerte du SAIP ?
   – Se mettre en sécurité
   – S’informer grâce aux médias, aux sites internet des autorités dès que leur consultation est possible
   – Respecter les consignes de sécurité

 

Thème « Alerter » :

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1. Par quels moyens doit être réalisée l’alerte des secours ?
   L’alerte doit être donnée à l’aide d’un téléphone portable ou à défaut d’un téléphone fixe ou d’une borne d’appel d’urgence.

2. Pourquoi l’alerte auprès des services de secours doit-elle être précise et rapide ?
   Afin de permettre aux services de secours d’apporter les moyens adaptés aux victimes dans le délai le plus court.

3. Quels sont les numéros d’urgence à appeler ?
   – Le 18, numéro d’appel des sapeurs-pompiers.
   – Le 15, numéro d’appel du SAMU
   – Le 112, numéro de téléphone réservé aux appels d’urgence et valide dans l’ensemble de l’union européenne.

4. Quelles sont les trois informations à transmettre aux services de secours ?
   Le numéro de téléphone à partir duquel l’appel est émis, la nature et la localisation la plus précise du problème.

5. A quel moment pouvez-vous mettre fin à un appel avec les secours ?
   Uniquement lorsque notre correspondant nous invite à le faire.

6. Sur autoroute, comment indiquer avec précision les lieux de l’accident depuis un téléphone portable ?
   Indiquer le numéro de l’autoroute, le sens de circulation et le point kilométrique.

7. Qu’est-ce que le signal d’alerte et d’information des populations (SAIP) ?
   Un signal destiné à avertir la population d’un danger imminent ou qu’un événement grave est en train de se produire.

8. Comment est diffusée l’alerte émise par le SAIP ?
   Grâce aux sirènes, aux médias tels que Radio France et France télévisions, ou encore grâce a l’application SAIP.

9. Comment est composé le signal d’alerte du SAIP diffusé par les sirènes ?
   Il se compose deux codes distincts :
   – Le SNA (Signal National d’Alerte) : variation du signal sur trois cycles successifs
   – Le signal de fin d’alerte : signal continu

10. Lors d’un appel avec les services de secours, pourquoi devez-vous attendre que votre correspondant vous autorise à raccrocher ?
    Car il peut nous conseiller ou nous guider dans la réalisation des gestes à faire, ou ne pas faire, jusqu’à l’arrivée des secours.

 

Thème « Secourir » :

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1. Qu’est-ce qu’une hémorragie ?
   C’est une perte de sang prolongée provenant d’une plaie qui ne s’arrête pas. Elle imbibe de sang un mouchoir en quelques secondes.

2. Quels sont les risques pour une personne victime d’une hémorragie ?
   Entraîner pour la victime une détresse circulatoire ou un arrêt cardiaque.

3. Comment arrêter une hémorragie ?
   En appuyant fortement sur l’endroit qui saigne avec les doigts ou avec la paume de la main en mettant un tissu propre sur la plaie.

4. Qu’est-ce qu’une perte de connaissance ?
   Lorsque la victime ne répond pas et ne réagit pas mais, respire.

5. Quels sont les risques pour une personnes en perte de connaissance allongée sur le dos ?
   L’arrêt respiratoire et l’arrêt cardiaque.

6. Citez les trois manières d’évaluer l’état de conscience d’une victime ?
   – Lui poser des questions simples “vous m’entendez ?” “Comment ça va ?”…
   – Lui secouer doucement les épaules
   – Lui prendre la main en lui demandant d’exécuter un ordre simple “serrez moi la main… “

7. Comment vérifier la respiration d’une victime ?
   Regarder si le ventre et la poitrine se soulèvent et sentir de l’air à l’expiration.

8. Qu’est-ce qu’un arrêt cardiaque ?
   La cœur ne fonctionne plus ou fonctionne de façon anarchique.

9. Quel est le risque principal d’un arrêt cardiaque sans intervention des secours ?
   La mort de la victime qui survient en quelques minutes.

10. Pourquoi faut-il pratiquer immédiatement une réanimation cardio-pulmonaire sur une victime en arrêt cardiaque ?
    Car les lésions du cerveau, (consécutives ou manque d’oxygène) surviennent dès la première minute.

11. Quel comportement doit-on adopter en présence d’une victime en arrêt cardiaque ?
    – Alerter : alerter immédiatement les secours
    – Masser : pratiquer une réanimation cardio-pulmonaire
    – Défibriller : utiliser un défibrillateur automatisé externe (DAE)

12. Qu’est-ce qu’un défibrillateur automatisé externe (DAE) ?
    C’est un appareil qui peut permettre de rétablir une activité cardiaque normale a une victime en arrêt cardiaque.

13. L’utilisation d’un DAE sur une victime qui n’est pas en arrêt cardiaque présente-t-elle un risque ?
    Non, car le défibrillateur est automatisé et se déclenche uniquement quand la victime est en arrêt cardiaque.

14. A partir de quel âge peut-on suivre une formation aux premiers secours ?
    A partir de 10 ans.

15. Une personne non formée peut-elle utiliser un défibrillateur automatisé externe ?
    Oui grâce aux instructions fournies par l’appareil : schémas et messages vocaux.

16. Quels sont les signes d’un arrêt cardiaque ?
    La victime ne répond pas, ne réagit pas et ne respire pas ou présente une respiration anormale.

17. Pourquoi ne faut-il pas laisser une personne en perte de connaissance allongée sur le dos ?
    Car elle risque un étouffement par :
    – Des liquides présents dans la gorge
    – La chute de la langue en arrière